
Yérévan, Octobre 2014.

Mémorial du génocide arménien.

Fête foraine.

Depuis l'esplanande de la Mére Arménie, une statue qui a remplacé Staline, un père et son fils regardent Yérévan.

Immeubles.

Sur un compteur éléctrique, dans la rue.

Sur un marché aux peintres, à Yérévan.

Devant, une sculpture d'Ervand Kotchar. Derrière, la gare de Yérévan. Au sommet, l'étoile des pays frères.

Dans la ville, des collégiens sur le trajet. Chaque garçon du pays part au service militaire pendant deux ans, de dix-huit à vingt ans, sur le front avec l'Azerbaïdjan.

Un garde privé, à la Cascade. Le monument, commencé à l'époque soviétique, a été racheté dans les années 2000 par Gérard Cafesjian, un arménien d'origine américaine. Il abrite désormais sa collection d'Art Contemporain.

Devant la cathédrale.

Dans le quartier des banque à Yérévan.

Comme souvent le Dimanche matin, la circulation est coupée. Un convoi officiel passe.

L'usine chimique Naïrit, arrétée en 2010, dont les employés, au chömage technique, attendent leurs arriérés de salaire.

Policiers.















Yérévan, Octobre 2014.
Mémorial du génocide arménien.
Fête foraine.
Depuis l'esplanande de la Mére Arménie, une statue qui a remplacé Staline, un père et son fils regardent Yérévan.
Immeubles.
Sur un compteur éléctrique, dans la rue.
Sur un marché aux peintres, à Yérévan.
Devant, une sculpture d'Ervand Kotchar. Derrière, la gare de Yérévan. Au sommet, l'étoile des pays frères.
Dans la ville, des collégiens sur le trajet. Chaque garçon du pays part au service militaire pendant deux ans, de dix-huit à vingt ans, sur le front avec l'Azerbaïdjan.
Un garde privé, à la Cascade. Le monument, commencé à l'époque soviétique, a été racheté dans les années 2000 par Gérard Cafesjian, un arménien d'origine américaine. Il abrite désormais sa collection d'Art Contemporain.
Devant la cathédrale.
Dans le quartier des banque à Yérévan.
Comme souvent le Dimanche matin, la circulation est coupée. Un convoi officiel passe.
L'usine chimique Naïrit, arrétée en 2010, dont les employés, au chömage technique, attendent leurs arriérés de salaire.
Policiers.